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Tokyo, en son palais

Je vous présente une nouvelle série de photos, cette fois si au Palais de Tokyo. De multiples expositions sont actuellement en cours, toutes bien différentes les unes que les autres, mais absolument fascinantes.

« Nouvelles histoires de fantômes.. » IMG_0461 IMG_0463Nouvelles histoires de fantômes est une installation bouleversante conçue par Georges Didi-Huberman et Arno Gisinger d’après le légendaire « Atlas Mnémosyne » de l’historien de l’art du début du XXe siècle, Aby Warburg. Ce qui en résulte n’est sans doute pas une exposition, ni une œuvre au sens traditionnel, mais  la présentation d’une méditation incomparable sur la façon dont la photographie et le cinéma ont prolongé à leur tour les chefs d’œuvre des artistes qui témoignent de ce que nous sommes.  Les deux artistes présentent au Palais de Tokyo une nouvelle évolution de la spectaculaire installation qu’ils conçurent au Fresnoy en 2012 et qui invite le visiteur à une plongée au cœur des scènes qui hantent notre regard.

 "Jamais la mer ne se retire..."

IMG_0488C’est un motif naturel, simple, épuré : la mer Méditerranée. Mais il ne s’agit pas pour autant d’un paysage. À la faveur du basculement de la caméra à 90 degrés lors de l’enregistrement, le rivage ne s’observe plus dans sa relation privilégiée avec la ligne d’horizon. Il s’élève de manière inlassable, insistant sur la verticalité de la prise de vue. Ce renversement met en valeur la planéité de l’image. Manière de libérer le spectateur du point de vue centré qui caractérisait la perspective albertienne. Il est ici face à une représentation quasi abstraite, un mouvement plastique, une matière. Il n’est plus assigné à une position unique : si le spectateur perd ses repères, c’est pour mieux réduire la distance et se réapproprier l’espace vidéo. La mer est déterritorialisée. Elle pourrait avoir été filmée sous d’autres latitudes que celles de la Corse. Peu importe. Car elle s’ouvre avant tout à un imaginaire. En dehors de tout ancrage géographique, de toute pesanteur.

"Aujourd'hui, le monde est mort.."
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78À travers une œuvre où la maîtrise technique se double d’une solide armature conceptuelle, Hiroshi Sugimoto  explore la nature du temps, de la perception et les origines de la conscience. « Aujourd’hui le monde est mort [Lost Human Genetic Archive] » est une nouvelle facette d’une exposition que Hiroshi Sugimoto élabore depuis une dizaine d’années en juxtaposant ses collections d’objets, provenant d’époques et de cultures disparates, et ses œuvres photographiques. Les objets de sa collection sont « ses doubles » et sont indispensables à l’artiste en tant que sources d’enseignements qui lui permettent de renouveler son art. En se nourrissant de références au roman « L’Étranger » d’Albert Camus et aux objets « ready-made » de Marcel Duchamp, l’artiste a mis en scène un monde après la fin de l’humanité : une vision personnelle de l’Histoire vue depuis l’avenir.

                                                                   "ALL THAT FALLS"IMG_0509                                                          Accroché au plafond, ou au sol?IMG_0510
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IMG_0517J’avoue ne pas réellement trouver les mots pour expliquer cette exposition aux multiples auteurs. Un seul mot d’ordre règne néanmoins: Renversant.

"Sheila Hicks "76

77Sheila Hicks investit la Grande Rotonde du Palais de Tokyo qu’elle envisage dans une perspective à la fois architecturale, picturale et sculpturale. Ce lieu de rencontre, d’échange et d’événements est conçu par l’artiste comme une œuvre architecturale évolutive, remplie de fibre colorée tissée, sculptée, tressée, sans cesse reconfigurée. À l’instar des variations climatiques, ces métamorphoses se déploient tout au long de l’année dans le Baôli de Sheila Hicks, modifiant progressivement les tonalités de la Grande Rotonde dans une interaction permanente entre l’espace et la couleur.

IMG_0492J’ai décidé de rentrer en métro.

Round III. Paris N°2 ∞

Suite des photos prises à Paris durant mon séjour. Je compte sur vous pour me donner vos avis et me suggérer de nouveaux « Spots » pour les futurs shoots. Je suis actuellement à la recherche de modèles sur Paris ainsi que sur Strasbourg. Si vous êtes intéressés, n’hésitez pas à me contacter par Facebook ou Instagram

 

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Centre Pompidou. Paris 4ème
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 "Le Chapelier" Centre Pompidou. 4ème62"Surchargé d'amour" Pont des Arts. 6ème54

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 "Impuissante face à tant d'indignation.."45

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 Panier Roland Garros ou jus d'orange ? 41

 

۝ Street Art in Paris ۝

Cinq heures de balade dans Paris à la recherche de nouveaux « tags » à vous présenter. Je vous laisse apprécier ma sélection. Pour ma part, je conseille le 10ème arrondissement, qui reste le quartier le plus riche en couleurs. 

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L I F E

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 Après tout.. "Ce n'est que de la couleur"32
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 "Rue d'Aix.."34

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 "A Anna, l'inconnue"37

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Round III. Paris ∞

Troisième partie de mon périple, cette fois ci à Paris, pour un peu moins d’un mois. Je vous présente mon premier shoot, beaucoup d’autres photos sont à venir. Dès lundi, je pose mes valises dans l’agence « Starface ». Je vous tiens au jus ! 

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"Just on time"19

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"Dyrson. 19 ans."6 1

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" L'homme aux géraniums " Paris 6ème.13

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Pont de Bercy, reposant.8
Dyrson II.7
"Un air de vacances..."5

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"L'homme aux polaroids" Paris 6ème.2

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Super Market Party ♥

Karl Lagerfeld a l’habitude de faire parler de lui à coups d’apparitions inattendues, de provocation et d’innovation pour Chanel. Mardi matin, il a fait déambuler ses mannequins, décontractées, baskets aux pieds, dans les rayons d’un supermarché. Le Grand palais a été transformé en grande surface.

Cara Delevingne et KarlLe top britannique Cara Delevingne ouvre le bal, dans un grand et long manteau en tweed, qui compte parmi les pièces les plus réussies de la collection. Dessous, elle porte un ensemble à trous, rose malabar. Ses baskets, réalisés par le bottier Massaro, sont recouverts de tweed assorti à celui du manteau.

Les baskets, déjà aux pieds de tous les mannequins lors du défilé couture de janvier, existent en version montante, comme des bottes. « J’aime l’idée que les femmes soient comme les hommes: tout le monde marche sur du plat », explique le couturier.

Mais pourquoi montrer cette collection dans un supermarché? Karl Lagerfeld parle du « reflet du quotidien dans le luxe » et de l’influence du « pop art ». « Si vous portez des objets très chers et que vous les portez en disant: ‘Voyez comme c’est cher’, vous êtes vulgaire. Tout ça doit se porter comme un jean à 100 euros, sinon ce n’est pas élégant », poursuit le couturier, qui reconnaît ne pas aller au supermarché. « J’ai beaucoup de collections, alors d’autres y vont pour moi », explique-t-il.

Défilé Chanel Super Marché 3

Défilé Chanel Super Marché 2

Défilé Chanel Super Marché 7

Quid des produits du « Chanel shopping center », après le défilé? Les emballages iront dans les vitrines des magasins de la marque, explique Karl Lagerfeld, soulignant que les boîtes sont vides. Quant aux fruits, légumes et bonbons, les invités pouvaient se servir en partant. Le reste ira à une association.

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